BENIGHTED est prêt à déchaîner le macabre en annonçant son nouvel album « Ekbom ». Ce nouvel album studio, d’une grande brutalité, tisse une histoire d’horreur psychologique. L’album fait référence au Delusional Parasitosis, un syndrome dans lequel les individus ont la conviction persistante d’être infestés d’insectes et de bestioles sous leur peau.
Un syndrome qui est bien représenté sur le premier single de l’album, « Scars ». La chanson se lance directement dans des riffs ultra-rapides et le cri de cochon caractéristique de Julien Truchan. Impressionnant d’un point de vue rythmique, « Scars » montre aussi la capacité de BENIGHTED à entrelacer son style in-your-face avec des breaks de batterie et des passages harmoniques astucieux. Effrayant, macabre et absolument brutal, le groupe est prêt à faire fondre les visages une fois de plus.
L’album a été enregistré au célèbre studio Kohlekeller en Allemagne. Connu pour avoir enregistré les albums de groupes tels que Powerwolf et Aborted, le studio et son ingénieur Kristian Kohlmannslehner donnent à Ekbom un son parfait.
Le single est accompagné d’un clip vidéo à couper le souffle, réalisé par Kick Your Eye Productions, qui complète magistralement le morceau sur le plan visuel :
BENIGHTED prendra la route en avril pour le Hellfest Warm-up Tour, apportant leur son brutal de death metal sur les scènes de France. Ils seront accompagnés de Ten56. sur toutes ces dates, avec la présence de Rise of the North Star, Stinky et KAMIZOL K sur certaines dates.
À PROPOS DE BENIGHTED :
Plongez dans les royaumes les plus sombres de la psyché humaine avec BENIGHTED, les pourvoyeurs français de brutal death metal et de grindcore, qui sortiront leur dixième album complet, « Ekbom », en avril 2024. La folie qui a défini leur discographie se poursuit avec cette bande-son radicale de l’époque tordue que nous vivons.
Né des groupes français de Death et Black Metal DISHUMANIZED, DARKNESS FIRE et OSGILIATH, BENIGHTED a émergé en 1998 avec la mission d’explorer une forme d’expression musicale plus brutale, plus lourde et plus moderne. L’impact de leur premier album complet autoproduit et éponyme en 2000 a transformé BENIGHTED d’un projet secondaire en un groupe principal, amassant rapidement une base de fans dévoués. Les albums suivants, « Psychose » (2002), « Insane Cephalic Production » (2004), « Identisick » (2006) et « Icon » (2007), ont permis à BENIGHTED d’entrer dans l’histoire du death metal extrême grâce à leur son viscéral et à leur capacité à briser les crânes.
Après un détour par « Necrobreed » en 2017, BENIGHTED a célébré son 20ème anniversaire en capturant la folie du live avec « Dogs Always Bite Harder Than Their Master » en 2018. Avec « Obscene Repressed », ils ont à nouveau pris un plaisir sadique à repousser les limites de la brutalité, en plongeant dans l’esprit dérangé du petit Michael. Son combat incessant contre les démons, alimenté par des problèmes œdipiens non résolus avec sa mère, a fourni un tableau grotesque pour la boucherie sonique de BENIGHTED. Non content de massacrer tout ce qui se trouve sur leur chemin auditif, BENIGHTED a créé des morceaux exploratoires, chaque tournant de leur musique révélant de nouvelles couches d’horreur et de désespoir.
BENIGHTED s’apprête à sortir « Ekbom » en avril 2024, un album qui s’inspire du cauchemardesque « syndrome d’Ekbom », une maladie neurologique rare, connue sous le nom de « syndrome de la mort ». Cette maladie neurologique rare, également connue sous le nom de Delusional Parasitosis, constitue le noyau thématique de l’album à venir. L’impression d’avoir une infâme concoction de parasites, de vers et d’insectes rampant sous la peau est une description appropriée de ce que BENIGHTED a à offrir sur ce nouvel album. L’assaut auditif reflète les sensations répulsives du syndrome, un voyage viscéral et troublant dans les abysses de l’esprit humain.
La folie règne à nouveau, cette fois entrelacée avec les échos obsédants du syndrome d’Ekbom. Préparez-vous à un nouveau chapitre bouleversant de la saga BENIGHTED, qui continue à se tailler une place dans les annales putrides du metal extrême, laissant dans son sillage une traînée de dégoût sonore.