Spread of Rage 3: 5 questions à Brothers Till We Die

Présentez-vous en quelques mots.
Nous sommes Brothers Till We Die, un groupe de metal hardcore de Madrid, en Espagne. Nous avons commencé à jouer comme un groupe d’amis en 2012, mais au fil du temps, nous avons commencé à faire plus de concerts et à sortir des albums, et c’est ce que Brothers Till We Die est maintenant ! Nous avons sorti 5 albums durant cette période (“Ars Longa Vita Brevís”, “We Will Never Grow Up”, “The Thin Line Between Death and Immortality”, “Touch these Wounds I came Back from Death” and “Reincarnation”). Pendant cette période, nous avons tourné plusieurs fois en Europe et la dernière fois c’était avec Deez Nuts, The Acacia Strain et Unity TX. Nous avons également joué dans des festivals sympas comme le Resurrection Fest, et nous avons partagé la scène avec des groupes géniaux ! Cet été, nous tournerons en Allemagne avec Cancer Bats et Walls of Jericho.

Quelles sont vos principales influences?
Il y a beaucoup d’influences dans notre groupe, qui s’étendent du hardcore oldschool jusqu’aux nouvelles sonorités d’autres genres comme le hardstyle. Nous jouons simplement la musique que nous ressentons et nous voulons que les gens passent un bon moment lors des concerts.

Quel est ton jeu rétro préféré ?
Probablement Metal Slug ou Super Mario 64 (rires).

Pourquoi ne doit-on pas manquer votre passage au Festival Spread of Rage?
Parce que vous allez certainement passer un bon moment. Pendant notre set, vous n’aurez pas le temps de vous reposer, vous sentirez notre énergie et nous avons besoin de vous pour y arriver.

Avez-vous une anecdote de concert ou d’enregistrement à nous raconter?
L’un de nos concerts les plus spéciaux a probablement été l’ouverture de la MainStage au Resurrection Fest, le même jour que Slipknot. Faire une grande tournée pendant 30 jours dans un tour bus avec les groupes que nous avons mentionnés précédemment était également génial. Le meilleur dans ce groupe, c’est que nous avons accompli plus que ce que nous aurions pu imaginer, et nous nous sentons tellement bénis pour cela que nous en remercions chaque jour.